vendredi 19 novembre 2010
mardi 9 novembre 2010
Vu-pas-vu, derrière la tête des Loriot-Mélia

Tati, Mélies, Bosch, Brueghel, Gustave Doré, Buster keaton, Tex Avery et sûrement encore bien d'autres, s'invitent sous le crâne de François Loriot et Chantal Mélia pour nous donner une exposition d'un genre nouveau au musée des Beaux Arts d'Angers entre la fête foraine, le lunapark, le théâtre et le cabinet privé.
A partir d'un assemblage faussement chaotique, ils introduisent la lumière et font naître une image. Ce bric-à- brac organisé est associé à de savants dispositifs se joue de notre raison . Ainsi l'image obtenue semble ne procéder de rien, surgissant comme par miracle.
http://www.dailymotion.com/video/xfhpd7_exposition-loriot-melia-les-rengorges-2008_creation
http://www.loriotmelia.com/oeuvres.html
lundi 23 août 2010
Qu'avaient donc derrière la tête les artistes quand ils ont coulé leur bronze à la mode burkinabé?
L'alliage est constitué principalement de cuivre, un peu d'étain et de zinc.
Pendant ce temps-là, les moules qui vont recevoir l'alliage en fusion sont cuits au feu de bois. Les artistes ont d'abord façonné leurs oeuvres dans de la cire puis celle-ci est recouverte d'une première couche de terre qui épouse au plus près la cire. Ensuite il ya une deuxième et troisième couche de terre armée de fer pour maintenir le tout.
On ménage un orifice au dessus pour couler le bronze. Mais avant cette cuisson, il a fallu faire fondre la cire pour obtenir un moule en creux.
Après la nuit commence l'opération de démoulage, au marteau d'abord pour enlever le plus gros.
Vient ensuite l'étape de ponçage et polissage.
Ce pendentif a été obtenu à l'aide d'une autre technique puisque le moule était un os de sèche que l'on a divisé en deux, puis creusé avant d'être assemblé.
Pour finir je vous conseille d'aller visiter le site du photographe Jean François Rabillon
http://www.rabillon.com/actu.htm
Les photos sont superbes.
vendredi 13 août 2010
Qu'est-ce qu'il y a derrière la tête d'Anne Moréa?
Centenaire Raoul Ubac à Trélazé
L'artiste belge Raoul Ubac est fêté comme il se doit par Trélazé. En effet, cet artiste, discret, passionné par l'ardoise, s'approvisionnait dans la cité du Maine et Loire.
Vous pouvez avoir une idée de l'étendue de son talent en allant aux Anciennes écuries des ardoisières où est livré une résonance, un regard croisé entre une collection de lithographies de Raoul Ubac et les photographies de Christophe Louergli, artiste photographe bruxellois qui s'inspire des oeuvres d'Ubac. Ce travail est très intéressant.
La scénographie de l'exposition est inventive et se sert bien du lieu. On peut voir certaines des œuvres dans le noir presque total ce qui donne une autre dimension aux toiles exposées.
mercredi 9 juin 2010
Humaine comédie par Sandrine Jousseaume à la galerie 19
samedi 29 mai 2010
Qu'avait donc derrière la tête notre ministre de la culture en venant à street art à angers?
Un ministre de la culture à Angers, ce n'est pas courant. Pour une manifestation de street art, ce n'est pas banal. Et pourtant, il était presque 17 heures quand tout à coup une certaine agitation s'est faite sentir près de l'abbaye du Ronceray, qui abrite l'exposition consacrée à Jean Faucheur dans le cadre du festival Artaq. M. Frederic Mitterrand a gratifié la ville d'Angers de sa venue et a visité l'exposition avant de s'entretenir quelques instants avec les artistes présents, montrant ainsi un soutien à l'art contemporain et offrant du même coup une publicité bienvenue à cette manifestation soutenue par la municipalité angevine.
Ce festival, que l'on doit en grande partie à Yves Suty, qui nous avait présenté il y a quelques temps une exposition autour de l'image du Che, mêle expositions et performances ainsi qu'un concours international. A écouter le maire d'Angers, J. C. Antonini le street art suscite l'engouement de tous les publics par sa convivialité, sa fraîcheur, son éclectisme, sa richesse et sa générosité. A voir l'affluence hier vendredi, il y a du chemin à faire. L'art urbain jouit en effet d'a priori. Pourtant quand vous côtoyez les artistes invités à Angers, vous pouvez vous rendre compte que l'on est loin des clichés habituels. Point de tags sauvages, absence d'une certaine violence et les œuvres présentées valent bien le détour via le grand théâtre, l'abbaye du Ronceray. Pour preuves quelques images prises dans la cour de l'Ensam, place de la laiterie, où pendant quatre jours les artistes créent des oeuvres éphémères sur des panneaux.
Pour en savoir plus sur cet artiste:
http://www.migueldonvez.com/
Popay s'attelle à écrire son nom. La transformation est étonnante.
Inscription à :
Articles (Atom)